Je heurte l'immense porte
Qui gongue son vieux bois
Encore vibrant.
Patiente longues minutes.
Enfin s'entrouvre un pan
Et glisse sa tête
Lutin magique
Sourit drôlement et prend ma main :
Tu as sonné le fabuleux ?
Ouvre les yeux
Et grand les bras,
Viens, danse et t'envole.
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