Qui ne rêve pas
Ses ailes ?
Il y aurait un monde
Où
Il y aurait toutes les tailles.
Ni de frocs
Ni de fric
Ni de bite
A qui pisse le plus loin.
Bien sûr,
Le monde sans cela
Est le plus improbable des
Rêves.
Chacun veut la plus
Grosse,
La plus
Grande,
La plus
Grave.
Mais la plus
Libre ?
Légère ?
Folle ?
Si toutes les tailles
Et toutes les sortes
Etaient celles
De
Nos ailes.
Celles qui
Parleraient
Pour nous.
Celles pour
Lesquelles
On se battrait,
On attraperait
Le monde.
On lutterait pour
Elles.
Et l’on n’aurait pas les plus,
Aaaaah ooooooh wouhhhhhh !
On aurait celles qui nous
Décollent
Le mieux,
Qui nous
Libèrent
En vrai.
Des ailes,
Libre pour de vrai.
Mais les ailes
Pour de vrai,
Avec aussi
Les elfes
Et les licornes
Sont celles de
L’intérieur.
Et l’on ne pourra jamais que
Brandir
Sa queue
Et
Son pouvoir.
Les ailes restent invisibles
Sinon elles ne
Servent
De rien.
On les chérit
Entre ses bras.
Je rêve
Quand même
À tire d’ailes
D’un pays
Magique
Où
Voler
Voler
Voler.
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