Les
jolies teintes
du
monde en tête
éteintes,
les
danses-sourires
du
corps rêvé
putrides,
les
élans-étreintes
l'esprit
en fête
terras-
sés,
étri-
pés
par
l'Ombre
reprend
la
main,
la
mienne,
je
la lui tiens,
ferme,
en
retour,
rancœur,
colère,
enrage,
piétine,
trépigne,
poings
pourraient
se
délier.
La
danse macabre
moque
méprise
joue
manipule
sans
foi ni loi.
Aussi
se croit plus forte
que
tout.
Mais
l'Ombre
et
sa danse
doivent
un moment
partager
le
terrain
avec
et contre,
la
mort dans l'âme
qui
demeure
qui
ne s'essouffle
pas
comme
ça,
avec
et contre la
chaleur
jaune d'or
de l'amie
vraie.
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