Toi force tranquille sans larmes
Qu’aucun des maux humains n’entame.
Là à tes pieds gisent tes armes,
Autour de ton cœur, de ses flammes.
Tu t’es tant ri du cerf qui brame
Qui pour sa compagne se pâme
Dans des sanglots, stupide drame.
Toi fier et haut assènes blâmes
Aux pauvres hommes qui pour leur dame
Se damnent.
Pourtant le bourreau de ton âme
Sourit, tu te perds : oui, ta femme.
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