Un
jour,
l'on
n'est plus
enfant.
Plus
enfant
de
personne.
L'on
est libre.
L'on
est seul.
Enfin.
Mais
plus personne
au-dessus
de
la tête.
Plus
de vieux
éléphants
pour
se rappeler.
L'on
doit se souvenir
seul.
L'on
doit être
sans
éléphants
vieillis
mais
inconditionnels,
souvent,
qui
veillent
et
qui trompettent
tous
les
anniversaires.
L'on
doit,
dès
lors,
être
autre
que
l'enfant de.
Et
le sens de soi
se
brouille,
l'on
doit redéfinir,
revoir
sa copie,
on
craint de fond en comble,
l'enfant
est le premier.
La
pierre du dessous
de
la tour.
L'on
ne veut pas
pencher
comme
Pise.
Mais
l'on doit cesser
d'être
l'enfant de
surtout.
Nouveau-né
adulte
car
un
jour,
l'on
n'a plus
au-dessus
de
la tête
les
éléphants gardiens.
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