Retour en surface,
Tombé de haut,
Sans surprise pourtant.
Le choc devait en être.
On court pas sans
Casse ni
Coups.
Le tout
C’est de ne pas s’en
Décourager.
La douleur s’oublie.
Le désespoir pas.
La réception
Du premier salto en nébules
De l’année
Marasme,
Noie,
Bain de boue sale.
Haut-le-cœur.
Agacement claque la langue et
Jure,
Ralenti dans cette putain de
Mélasse répugnante,
À patauger dans la choucroûte.
Le compteur tourne les
Cocos !
On se bouge le sac
On s’agite la noix.
Pas que ça à faire,
Chaque minute est précieuse
Et voilà qu’on s’embourbe comme
Des béotiens en
Goguette.
On l’a fait
20 30 40 fois le 3 janvier !
C’est la routine.
Mais non !
La bauge s’invite à la fête.
La poisse.
On n’en finit pas de s’y enfoncer.
On finit bien par prendre
Son mal en
Patience.
Et dans un moment d’assoupissement,
Un éclat tinte sur la rétine
À peine,
Juste un filet mais
Il suffit et la curio-
Sité cette fois l’emporte.
Bauge de miel
Miroir.
Le détour en valait la
Peine et
La crasse.
La course semble bien
Loin de ce silence d’or
Sucre.
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