Et le regard se plisse
Les pupilles flambent
Et noires comme des démons.
Le passé se laisse décortiquer
Et bien oui tout aussi laid
Que son sourire
Édenté
Et putride.
Il pue,
Il fume vert,
Il jure sévère.
Il est un chaos d’immondices
Qui courent en râlant
Les bras tendus
De toxicos en manque.
Je les sème avec
Cruauté
Et sans regret.
Éclate de rire à les voir trébucher
Dans mes nouveaux
Labyrinthes.
Je tends des pièges aux
Zombies du passé
Et les nargue de ma satiété
Feinte mais rageuse
Rageante,
Ils perdent pédales
Et leurs têtes se dévissent
Peu à peu
Trop lentes pour leur danse
Electrique.
Oust sales bêtes !
Rentrez dans vos cercueils
Ou tombez en poussière.
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