Sans tourner la tête ,
Tout s’allume au coin des yeux,
Feux d’artifice surprises.
Les œillères sont tombées,
On n’ose presque pas bouger
Mais mille chemins se découvrent
Aveuglés jusqu’alors.
Les œillères sont tombées
Et l’univers s’agrandit,
Plus de droit devant et avance
A coups de cravache.
Les œillères sont tombées
Et tous les espoirs permis,
Les ruades à tout va,
De joies tsunamiques.
Les œillères arrachées,
À dessein,
Enfin,
Courage à deux mains,
Beaucoup moins mal qu’un sparadrap dites donc !,
Pour ne plus se contenter de
La peur
Et la prudence,
Et bombarder le monde de ses rêves
Pas si fous
Pas tant toqués.
On les brandit et
Les autres qui aiment
dansent aussi.
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